Pas trop de trafic ce matin. Hourra! Je suis d’avance au bureau. Je me dis que je vais prendre ces 30 minutes pour diminuer la pile de demandes qui s’accumulent à un rythme fou depuis les derniers jours. Tout ça, parce que je reçois beaucoup plus de demandes en ce moment que je devrais normalement en recevoir. À ce moment là, j’étais loin de me douter que je prendrais finalement ces 30 minutes là pour jaser de drôles de rêves avec un collègue.
En soit, je suis bien contente de l’avoir fait, car, même si j’avais travaillé sur mes demandes pendant ce temps là, je n’aurais pas pu le charger comme temps supplémentaire, ni n’aurais pu finir 30 minutes plus tôt pour compenser. Alors, en bout de ligne, ces 30 minutes là m’appartenaient et je les ai gardées pour moi plutôt que de les donner gratuitement à mon employeur.
Donc voilà, je viens d’arriver à mon bureau, je prends la tasse de ma petite cafetière et je me dirige vers la cuisinette pour aller chercher l’eau pour préparer mon café matinal et également nettoyer ma tasse que j’avais oublié de nettoyer la veille. Comme je suis entrain de préparer mes choses, un de mes collègues arrive et me dit qu’il a fait un drôle de rêve cette nuit.
Je le regarde et lui demande à quoi il a bien pu rêver. Il me répond vaguement en me disant qu’il a rêvé que McDo avait revu sa stratégie et avait aménagé ses restos pour accueillir les grandes vedettes rock et autre et qu’il s’y était retrouver dans un chaos total avec la multitude de jeunes survoltés qui s’étaient retrouver à l’endroit en question pour voir ces grandes vedettes. Je le regarde et dit :
Moi : - Effectivement, c’est bizarre comme rêve.
Ludo : - D’autant plus, je ne sais pas pourquoi j’ai pu rêver à ça, ça fait des siècles que je ne suis pas allé dans un McDo, je ne suis pas fan de ce genre de resto.
Moi : - Ouais. Je me demande bien ce qui fait qu’on puisse faire des rêves bizarre comme ça. Moi, j’ai déjà fait un rêve assez bizarre aussi il y a plusieurs années et je m’en souviens encore comme si je venais juste de me réveiller le matin même où j’ai fait ce rêve. Dans mon rêve, tout ce qui s’y trouvait était des choses où des personnes qui me sont connus, mais tout mélanger. Vraiment bizarre.
Je lui explique alors que j’avais une amie qui demeurait à Gatineau, et pendant que j’étai au secondaire, j’allais souvent la voir là-bas. Moi j’habitais à Sherbrooke. On allait à la même école secondaire elle et moi, jusqu’à ce qu’elle déménage à Gatineau. Un été, j’allais la voir, et j’étais monté jusqu’à Aylmer avec des gens que je connaissais et elle et ses frères venait me chercher à cet endroit là. La maison où j’arrivais était dans une rue en fer à cheval et il y avait une maison avec un très grand terrain de billet dans un des angles du fer à cheval du côté extérieur à l’opposé de la maison où j’étais. J’ai aussi une autre de mes amies qui reste dans le coin de Sherbrooke qui a un lac artificiel en arrière de sa maison. Un autre point, quand j’étais en secondaire 5, j’avais une professeure de physique qui portait toujours un sarreau, comme un chemisier. Elle semblait le porter comme vêtement, pas comme un comme un sarreau. Elle le portait simplement comme ça avec un pantalon ou une jupe, mais semblait rien porter sous le sarreau autrement que ses sous-vêtements. Elle avait également beaucoup de cheveux, et les cheveux longs. Je lui décris également la maison de mes parents. Quand on entre dans la maison par la porte avant, à notre gauche se trouve un grand salon, droit devant, on voit la cuisine plus loin, toujours face à nous, mais un peu à droite de la porte se trouve l’escalier qui monte au 2e étage et complètement à droite, une porte nous mène au vivoir ou ma mère a l’habitude de s’y étendre et s’y endormir le soir en écoutant la télévision. De plus, le sous-sol n’est pas fini chez mes parents. Mon père avait fait un établie et pendant un certain temps, il y avait plein de choses pêle-mêle sur le dessus, donc des tapis de voiture, les petits crampons du dessous faisant face au plafond.
Donc, je lui explique mon rêve :
Moi : - Voilà, dans mon rêve, je m’en vais chez mon amie à Gatineau, mais là, dans mon rêve, sa maison est en fait la maison de mes parents et se retrouve sur le terrain à Aylmer qui était de billet avec où j’étais arrivée et derrière sa maison se trouve le lac artificiel de mon autre amie. On est donc là et elle me raconte que depuis un certain temps, le soir, un drôle de bruit semble venir du lac artificiel. On est toutes deux curieuses de savoir ce qui peut bien faire se bruit qui fait penser à une complainte quelconque, le soir venu, je décide donc de plonger dans le lac, car le bruit semble venir de sous l’eau. Au milieu du lac se trouve une grosse roche. Je me mets donc à nager te mon amie, prise de peur retourne dans la maison. Je nage donc sous l’eau et en prenant de la profondeur et de la distance par rapport à la rive, je me retourne donc pour faire face à la surface de l’eau. C’est donc à ce moment que j’aperçois d’où vient le son en question. En fait, ça vient de sous cette roche au milieu de l’eau. La roche flottait, supporté par le squelette de ma professeure de physique, qui avait toujours tous ses cheveux et son sarreau. Malgré que ce soit un squelette dans mon rêve, elle semble être toujours vivante. Prise de peur par cette vision, je me dirige donc vers la maison, avec en tête de me rendre dans le vivoir pour aller chercher le réconfort de ma mère oubliant que je ne suis pas chez mes parents, mais bien chez mon amie. En arrivant face à la porte du vivoir, je l’ouvre et je retrouve coucher sur le divan, comme l’aurait fait ma mère, le frère de mon amie. Il est étendu là, à moitié endormis et il porte des lunettes. Dans la réalité il n’en porte pas, et celles qu’il a dans mon rêve sont celle d’une personne que je connais. Je lui explique donc ma frousse et il me sert alors dans ses bras et me fait signe de le suivre vers sa chambre qui se trouve au sous-sol, comme dans la réalité. Je le suis donc pour réaliser à ce moment là que son lit est en fait l’établie et il dort sur les tapis de voiture, sur les petits crampons.
Ludo : - En effet, c’est assez bizarre comme rêve, et je tu t’en souviens effectivement très clairement.
C’est donc suite à ceci qu’on c’est mis à ce poser la question de ce qui faisait qu’on pouvait faire des rêves de ce genre.
Est-ce que vous le savez vous ce qui fait qu’on fait ce genre de rêves?
Je sais que notre subconscient y est pour beaucoup. Mais qu’est-ce qui fait qu’il nous lance toutes ses informations, « out of no where ». Il nous relance plein d’informations qu’on n’a pas eu affaire à depuis belle lurette. Mais pour quelle raison, maintenant, et pourquoi cette information-ci et non pas autre chose?
Ça me fascine les rêves, qu’est-ce qui fait qu’on va rêver à une chose plus qu’une autre à ce moment-là.
Est-ce que vous avez des réponses pour moi? Peut-être que oui, peut-être que non, mais peut importe, je ne vous en voudrai pas si vous n’avez pas de réponse à mes questionnements ;)
Faites de beaux rêves!
vendredi 26 octobre 2007
Pourquoi fait-on des rêves si bizarres?
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