mardi 11 décembre 2007

Pour la première fois....

Ça fait bizarre… Pour la première fois depuis 6 ans, je ne suis pas allée au party de Noël de la compagnie... Quelques raisons font que je n’y suis pas allée cette année, comme le fait qu’ils ont choisie de faire ça un mardi soir comme je vous avait déjà mentionnée dans un billet précédent, mais aussi pour le fait que le prix était 2,5 fois plus que les années précédentes pour un endroit la vraiment moche en comparaison aux parties des années précédentes.

Je ne regrette pas de ne pas être allée au party, mais ça me fait quand même weird.... Par contre, je peux me réjouir du fait qu’ensemble, moi et mes collègues ont à décider de se faire notre propre party de Noël samedi soir. J’ai bien hâte de voir comment va se dérouler notre soirée!

Entre temps, ce soir, pendant qu’une bonne partie des employées de la compagnie était au party, moi et 2 de mes collègues, on a décidé d’aller prendre un verre ensemble après le travail. Je dois dire qu’on a eu une bien belle soirée! Des discussions bien intéressantes. Ça sera quelque chose à remettre une prochaine fois ;)

vendredi 7 décembre 2007

Joyeux Nowel!

mardi 4 décembre 2007

Le 3 fait le mois

Si ce dicton dit vrai, on va en avoir de la neige à Montréal en décembre!

Je dois dire que je ne me souviens plus de la dernière fois où on a eu autan de neige à pareil date. Malgré que ce soit un vrai calvaire pour se stationner et qu'on se retrouve pris dans des bouchons de circulation monstre, j'avoue que j'aime bien l'hiver et toute cette belle neige blanche ;)

En tout cas, on peut s'attendre à avoir un vrai Noël blanc cet année ;) Pas juste quelque flocons sur le sol pour nous donner une impression de blancheur!

jeudi 29 novembre 2007

So-So-So, So-Lida-Rité!

Est-ce que vous êtes syndicaliste? Personnellement, je n'ai jamais été une syndicaliste dans l'âme, mais il y a maintenant 2 ans, où je travaille, nous nous sommes fait imposer un syndicat suite à plusieurs années de procédures judiciaires.

Pour expliquer rapidement, la compagnie pour laquelle je travaille a des bureaux à la grandeur du Canada. La compagnie a pris naissance dans l'Ouest Canadien et s'est implanté ici au Québec suite à l'achat d'une compagnie qui était implanté ici dans l'Est du Canada. Dans l'Ouest, les employés y sont syndiqués depuis très longtemps. Dans l'Est, nous n'étions pas syndiqués de par le fait que l'entreprise gardait l'Est et l'Ouest sous deux entités. Après plusieurs appels de la compagnie face à certaine décision de la cours, il a été tranché que malgré que ce soit deux entités, en bout de ligne c'est la même compagnie et les emplois de l'Est et de l'Ouest sont comparables, donc devraient être syndiqués par le même syndicat que dans l'Ouest. C’est donc suite à cette décision de la cours que nous nous sommes fait imposer un syndicat et une convention collective qui ressemble grandement à un gruyère.

La majorité des employés dans l’Est du Canada ne sont pas satisfait de tout ça, premièrement car ça nous a été imposé, mais plus encore par le fait que la convention qui nous a été imposée est un véritable fromage suisse ! Bourré de trou… Et définitivement pas à notre avantage.

J’ai des amis qui travaillent pour la même compagnie que moi et qui ont décidé de s’impliquer à fond dans le syndicat pour faire en sorte que nos voix soient entendues, mais surtout écoutées lors de la prochaine négociation de convention. Si vous connaissez un peu les syndicats, vous devez donc savoir que le syndicat et ce que ses membres veulent qu’il soit. Donc si les membres s’impliquent à fond, le syndicat va fonctionner. Dans notre cas, c’est complètement le contraire. Les gens sont tellement mécontents de ce l’être fait imposer, du fait que notre convention est nulle, qu’ils considèrent que le syndicat ne fait rien de bon pour eux et ne veulent pas s’impliquer ou encore les gens pensent qu’ils n’ont rien à faire, que tout va se faire tout seul.

Ce soir, on avait une réunion syndicale pour notre local. Cette réunion était pour les élections du Président, Vice-président, les Directeurs et les Délégués de conventions, le tout bien entendu pour notre local. Ce sont des postes clé et important, ce sont eux qui nous représente, il est donc primordial de s’assurer que les gens qui vont combler ces postes soient à l’image de ce qu’on veut et qu’ils militent pour ce qu’on veut et ce qu’on croit bon pour nous. Et bien croyez le ou non, mais ces décisions, qui impacte ici environ 1500 personnes, ont été prise par seulement 15 personnes.

15 personnes ont décidé de qui allait représenter environ 1500 personnes… Même si je ne suis pas syndicaliste dans l’âme, je fais ma part et je me présente aux réunions syndicales. De cette façon, je m’assure au moins que ce qui s’y fait sera en partie à mon image, j’aurai donné mon opinion et choisi ceux qui seront ma voix devant la compagnie et aussi dans le reste du syndicat. Comme je me présente au rencontre, je peux vous dire qu’on avait une assistance quasi record ce soir avec 15 personnes. Souvent, j’y suis allé et nous étions 3-4 personnes autres que les membres de l’exécutif du local. C’est décourageant de voir que nous somme si peu pour prendre des décisions qui impacte tant de gens, c’est gens qui après se plaignent des résultats…

Réveillez-vous merde !!! Si vous n’êtes pas d’accord avec les décisions, présentez vous aux rencontres et dite-le ! Si vous ne vous présentez pas, bien chialez pas ! Vous avez volontairement décidé de laisser vos choix entre les mains des autres, si ça ne vous plaît pas, vous savez quoi faire !! Vous vous plaignez qu’on vous a imposé une convention qui ne vous plaît pas, et bien en ne vous impliquant pas plus dans le syndicat, les chances sont encore pour que vous vous retrouviez avec quelque chose que vous n’aimerez pas plus… Quand ont parle de s’impliquer dans le syndicat, ce n’est pas nécessairement de prendre un poste dans l’exécutif, mais simplement de venir aux rencontres et de pendre la peine de dire ce que vous voulez. Les rencontres sont peu nombreuse, en 2 ans, j’ai peut être mis 10h la dessus… et sur ça, je compte la première réunion où ont a du élire le Président, le Vice-président et tous les postes, car ont venait à peine d’ouvrir notre local, cette réunion a durée environ 4h, simplement parce que personnes n’était familier avec les procédures. Heureusement qu’on avait quelque de l’Ouest qui gère le syndicat là bas depuis des années. Mais autrement, les rencontres durent entre 1h et 2h et si on en a 3 dans une année c’est beau. Ce n’est pas énormément de temps à donner pour que notre voix et notre opinion soient entendues et représentées.

mercredi 28 novembre 2007

Un soupir de soulagement

Je vous avais conté il y a quelques semaines que mon père avait subit une opération pour une crise d'appendicite. Quand il est sortie de l'hôpital, la médecin lui avait donné un rendez-vous un mois plus tard pour un suivit. Du moins c'était la raison qu'elle lui avait donné à ce moment là.

Son rendez-vous était mardi de cette semaine. Je l’ai donc appelé le soir pour savoir comment ça avait été, car la semaine dernière, quand je lui avais parlé, il semblait avoir un peu d’infection à une de ses plaies. Donc je voulais savoir ce que la docteure lui avait dit à ce sujet.

En jasant avec lui au téléphone, il me dit que sa rencontre a très bien été, que pour l’infection, tout était correct et c’est là qu’il m’apprend que la vraie raison pour laquelle sa docteur lui avait donné un rendez-vous un mois plus tard n’était finalement pas vraiment pour un suivit de l’opération en tant que tel. Elle lui avait donné se prétexte à l’origine pour ne pas le stresser inutilement. Mais la raison était en fait parce qu’elle avait envoyé les tissues, enlevés lors de l’opération, en biopsie et qu’elle allait avoir les résultats à ce moment là. Elle lui a donc expliqué la raison de cette démarche. Ce qu’elle lui a expliqué, c’est que dans plusieurs cas d’appendicite, à l’âge qu’il est rendu, sont en fait des causes d’un cancer et non pas une simple appendicite. Donc ils ont fait les tests afin de s’assurer que ce n’était pas le cas pour lui aussi. Mon père a donc été très soulagé quand elle lui a confirmé que les résultats étaient revenus négatifs. Aucune traces de quoi que ce soit de cancéreux.

Oufff !

Quand j’ai parlé à mon père mardi soir, il était bien heureux de cette information, mais aussi très content du bon jugement de sa docteure de ne pas lui avoir parlé des tests qu’ils allaient faire pour les possibilités de cancer. Avoir su à ce moment là qu’ils allaient faire ce genre de tests, mon père aurait été stressé et inquiet pendant tout ce mois d’attente et n’aurait probablement pas dormis. Non seulement mon père aurait été stressé et inquiet, mais moi et ma mère tout autant. Elle a donc su suivre son bon jugement pour éviter un stresse inutile à son patient et ses proches. Lui avoir dit il y a un mois qu’ils allaient faire les tests, car dans plusieurs cas d’appendicite à son âge, c’est dû à un cancer, il aurait été un mois à ce faire du mauvais sang pour quelque chose qu’il n’avait aucun contrôle et qu’il n’était même pas certains des résultats. Et de toute façon, même si le résultat avait été positif, il n’aurait pas pu en être certain avant la même date, donc rien n’aurait pu être fait avant ça, malgré tout.

Finalement, tout ça pour dire que mon père est en bonne santé :) Et il n’aura été angoissé par la question que pendant quelques minutes, le temps qu’elle lui explique le tout et lui donne le résultat :)

mardi 27 novembre 2007

Une fin de semaine relaxante

Comme vous le savez déjà, pour mon anniversaire, j'étais à Cuba. À mon retour, j'ai eu droit à un repas avec tous mes amis afin de souligner le tout. J'ai à ce moment passé une très belle journée.

Pour mon anniversaire, mon copain m'a offert d'aller passer une fin de semaine ensemble à Bromont. Une nuitée au Château Bromont incluant un souper, le petit déjeuner et un soin au Spa Concept Bromont.

Je ne sais pas si vous y êtes déjà allé, mais je dois vous dire que j'ai vraiment aimé ma fin de semaine. Le Château Bromont est vraiment un bel endroit. Dès notre arrivé, j'ai été agréablement surprise par la beauté de la place. L'endroit est très chaleureux. Une fois rendu à notre chambre, j'ai vraiment été surprise. On nous avait dit qu'on aurait une occupation régulière, alors je m'attendais à la chambre d'hôtel typique, lit, table de nuit, commode avec un miroir et une télévision et une petite salle de bain standard. Je suis donc restée étonnée quand on est entré de voir la chambre bien décorée, avec une ambiance feutrée et très chaleureuse.

En entrant, à notre droite, on avait la salle de bain. Elle était bien normal, mais la déco lui donnait un petit look champêtre. Ensuite à la gauche, un petit comptoir avec tout le nécessaire pour se faire du café le matin ainsi qu'un petit évier et un miroir. Ensuite, on entre réellement dans la chambre où se trouvent: un grand lit, un meuble pour mettre une valise. Il y a également un meuble avec la télé et quelques tiroirs suivis d'un bureau de travail. Face à ces deux meuble se trouve un grand divan 3 place et une table de salon. Ensuite, en face de la grande baie vitrée qui nous donnait une vue sur les pentes de skis, il y a une bergère avec une table d'appoint pour y déposé un verre.

C'est une description assez sommaire, mais ça vous donne tout de même une petite idée de la place.

Le souper quant à lui était exquis. Nous avons également eu droit au conseil d'une sommelière pour nous guider dans le choix du vin pour accompagner le repas. Tout simplement, un vrai délice de l'entrée au dessert.

Le lendemain, on avait nos soins de santé, mon copain a opté pour un massage d'une heure et moi pour un soin du visage. Je suis ressortie de là complètement relaxée. Ça a vraiment fait du bien et en plus j'ai la peau toute douce ;)

Faut dire que ça a pas fait de tord, j'avais la peau tellement sèche à cause du soleil du sud ;) J'avais beau mettre de la crème hydratante deux à 3 fois par jours, j'en venais pas à bout. Mais l'esthéticienne a résolu le problème sans me faire perdre mon bronzage ;) Yeah!!! hihihi

Voilà donc ma petite fin de semaine. Si jamais vous cherche une place pour relaxer, je vous conseil fortement le Spa Concept. Et si vous avez les moyens de vous le permettre le petit forfait Escapade Santé du Château Bromont était vraiment agréable!

lundi 26 novembre 2007

Productivité? C'est quoi ça?!

Ouille! Il y a des journées comme ça. On dirait qu'on est sur le neutre toute la journée! Bien, s'en était une comme ça pour moi aujourd'hui.

Tout ce que je faisais, je devais le refaire 2 pis 3 fois, incapable d'avoir assez de concentration pour me rappeler de ce que j'avais de fait.

Pour vous mettre un peu dans le contexte, je travaille depuis déjà une semaine sur le même dossier. Je dois revoir tous les comptes d'une certaine compagnie et m'assurer que tout soit en ordre et revoir la facturation des 6 derniers mois.

Donc, voilà que je travaille sur un compte, quelqu'un vient me voir pour de l'aide sur quelque chose, je l'aide, je retourne à ce que je fais, quelque chose attire mon attention, je retourne à ce que je faisais, mais là, je ne sais plus où j'en étais rendu... Recommence le tout et fini par finir. Compte suivant.... l'histoire ce répète. Ça a été comme ça toute la journée!!! Donc en bout de ligne, j'ai travaillé toute la journée, mais à refaire la même chose deux ou trois fois...

Je déteste ce genre de journée où tu n'arrives pas à te concentrer sur rien. On travaille aussi fort, mais on accomplie la moitié moins qu'en temps normal...

*Soupir*

Au moins je peux me consoler en me disant que la journée est finalement terminée! Une bonne nuit de sommeil et on va espérer que demain, elle sera plus productive ;)

jeudi 22 novembre 2007

Pas très jasante

Je n'ai pas écrit vraiment depuis mon retour de voyage. Je vous ai mis quelques photos et c'est tout. Je dois dire que j'ai un peu de misère à me remettre sur mon horaire normal suite à mon voyage.

Je suis habituer de veiller très tard et me lever tôt, mais pendant mon voyage, aussi wierd que ça peut paraître, je n'ai pas tellement fait le party, du moins, pas de soir ;) hehehe J'en ai profité pleinement le jour, mais les soirs, vers 8h30 j'étais déjà au lit et debout le lendemain matin vers 6h15 am, prête à repartir pour une autre journée et en profiter au max. Donc, j'ai un peu de misère à retourner à mon horaire normal de me coucher vers les 00:00 - 1:00 am. Je suis tellement lessivée quand je rentre à la maison que je n'ai pas d'inspiration.

Je suis donc désolée de ne pas vous donner grand chose à lire depuis la dernière semaine, mais je vais faire un petit effort pour vous en donner un peu plus dans les prochains jours ;)

lundi 19 novembre 2007

Dur retour à la réalité

Comme on le dit souvent, toute bonne chose a une fin. Aujourd'hui je retournais travailler après une semaine à me faire dorer sous le chaud soleil de Cuba!

Quand je suis revenue dans la nuit de samedi à dimanche, on dirait que je n’avais pas réalisé à quel point il faisait froid. Je devais être encore trop endormit. Par contre, ce matin, quand je suis sortie dehors pour aller prendre mon auto pour me rendre au travail, la réalité m'a frappée de plein fouet... Fallait gratter les fenêtres, c'était glacé... Là je l'ai réalisé, et ça a frappé ;)

Faut dire que j'ai été gâtée pendant mes vacances. La température a été superbe toute la semaine. Du soleil tous les jours. Une seule journée où on a eu des nuages et seulement pour 1h ;P LOL On s'est réveillé le matin, vers 8h30, plein de nuages, à 9h30... Plus un seul en vue, ils avaient tous quittés la place pour nous laisser sous un beau ciel bleu!

Voici quelques photos de mon voyage pour vous faire rêver:













mercredi 7 novembre 2007

On ressort les vieilles affaires!

Hier au travail, avec des collègues ont c'est mis à jaser de foie gras. Je leur ai raconté qu'une place où j'avais mangé du très bon foie gras, c'est à Han-Sur-Lesse, en Belgique.

Cette discussion a donc fait travailler un des petits hamsters de sa mémoire et lui a fait penser à Coluche! Il m'a envoyé le lien du clip en question. Je dois avouer que pour l'accent Belge, il est fort ;) hihihi

lundi 5 novembre 2007

Moi, mes souliers...

À peine six semaines après ma naissance, je faisais mon premier voyage. Depuis ce jour, mes parents m'ont fait voyager avec eux une à deux fois par année. Pendant une partie de ma jeunesse, j'ai fait bien des voyages avec mon père.

Ce sont des moments que je garde gravés à ma mémoire à tout jamais. Un des voyages qui m'est resté le plus marqué est un voyage que j'ai fait avec mon père à Cancun. On avait prit un bateau de croisière pour une journée pour aller sur l'Île des femmes. Je m'en souviens encore comme si c'était hier. Ça a été ma première expérience de snorkeling en mer. Tout ce que je peux dire c'est:

- WOW!!!

Les poissons de toutes les couleurs, mais surtout, de pouvoir nager avec eux de si près. C'était magique. Je n'avais qu'à m'étirer un peu le bras et je pouvais pratiquement les attraper.

Je dois beaucoup à mon père pour tous les voyages qu'il m'a permis de faire avec lui. Je ne pourrai jamais le remercier assez pour tout ce que ça m'a apporté.

Ça fait quelques années que je n'ai pas eu l'occasion de voyager avec mes parents, en fait le dernier voyage que j'ai fait avec eux remonte à il y a 11 ans déjà... Mais cette année, grâce à mon père, je pars en voyage pour ma fête, avec ma mère!

Pour la première fois, je pars en voyage seule avec ma mère. Mon père nous offre le voyage en partie à moi et à ma mère pour mon anniversaire. J'ai bien hâte!! Ce sera sans aucun doute de beaux souvenirs à ajouter aux autres.

Merci papa!

J'ai tellement hâte! Samedi après-midi, j'aurai les pieds dans le sable à regarder les plages de Varadero pour une semaine!

Fall back

Enfin! On vient de retourner à l'heure normal de l'est. J'avais vraiment hâte qu'on recule l'heure. C'est fou ce que ça peut faire comme différence.

Depuis quelques semaines, il faisait noir de plus en plus tard le matin. Et personnellement, je trouvais ça vraiment difficile de me lever avec une noirceur pareil. Ça me prends toujours un moment avant d'être fonctionnel le matin, mais là, j'avais l'impression que tant que le soleil n'était pas là, je continuais à fonctionner sur le radar...

Pourquoi est-ce qu'on doit faire comme les américains jusque dans nos changements d'heure?!

samedi 3 novembre 2007

Sang chaud, sans froid

Maintenant bien installée sur la ville, la nuit avait son emprise sur tout ce qui y régnait. La rue Sainte-Catherine, illuminée par les néons des différents commerces qui s’y trouvent, fourmille de gens, une société nocturne se déploie. Les rues avoisinantes sont toutes aussi éclairées, surtout par les endroits qui opèrent de nuit. On y voit les files d’attentes devant les différents clubs les plus branchés de la ville, les voitures qui se promène dans les rues et qui arrêtent sur un coin de rue en recherche d’un peu de chaleur humaine.

À une intersection, un homme dans sa voiture ralentie et scrute l’endroit tranquillement afin de voir si celle qu’il a coutume de rejoindre à cet endroit s’y trouve. Il fait son arrêt à l’endroit en question, et une jeune femme s’approche de la voiture, c’est elle, elle ouvre la portière et prend place à côté du conducteur. Comme un rituel, ils se rendent au même endroit que chaque soir où il vient la chercher. Ils s’aventurent dans une chambre où il assouvira ses plaisirs les plus fous.

***

Dans le vieux Montréal, l’homme adossé au mur de pierres a quitté son siège. Il a quant à lui pris la direction du quai de l’horloge où il apprécie regarder le reflet de la lune sur l’eau calme du fleuve.

Un autre homme vient à sa rencontre, ce qui ne semble pas faire son bonheur. Maximilien se retourne vers celui qui vient à sa rencontre. Tout dans son attitude démontre son mécontentement à se faire déranger à cet endroit où il vient pour retrouver un peu de tranquillité. Il fait ainsi comprendre à cet homme qu’il connaît bien, que cette rencontre est mieux d’être extrêmement importante.

Les deux hommes s’approchent un de l’autre et entame une discussion qui semble prendre une tournure qui ne plait ni à l’un ni à l’autre.

***

Dans un des clubs les plus branchés de la ville, le doorman fait rentrer les gens qui sont munie de leur invitation VIP, les autres se voit, pour l’instant, refuser leur accès. Certaines de ces personnes décident de rester dans la file en espérant pouvoir entrer plus tard, mais la majorité tourne les talons et se dirige vers un autre endroit pour faire la fête. Une fois à l’intérieur, ceux qui ont eux la chance d’avoir un accès VIP, ou bien la patience d’attendre, ils se retrouvent dans un décor sublime. La place est pleine, sans pour autant avoir l’impression de se faire piler sur les pieds. Le club est sur 3 étages, le 3e étant une place réservée uniquement au détenteur d’une entrée VIP. Du 2e étage, ont voit l’escalier qui mène à cet endroit convoité par plusieurs et une grande baie vitrée permet leur permet de voir légèrement les gens qui s’y trouvent et ceux qui sont au 3e étage on une vue prenante sur tout ce qui se passe sous leur pieds.

Dans un des coins de cette salle privée, 3 hommes sont assis dans de grands sièges en cuir souple. Ils sont accompagnés de deux jeunes femmes. Dans un coin plus reculé de cette grande pièce, ils discutent sérieusement tout en prenant plaisir à déguster une spécialité maison.

Paroles de Wiski

Voici la tête que Wiski m'a fait quand il a su que vous disiez que les siamois louchent.


Il était tout triste. Et puis, il a repris sur lui et voici ce qu'il vous dit à tout ceux qui disent qu'il louche:


Il vous tire la langue et dit:

Allez, regardez comme il faut sur ces quelques photos qu'on a prit de moi et vous verrez bien que je ne louche pas! Je suis un petit chat parfait et mes yeux regardent droit devant moi baon! C'est vous les humains qui louchez!




Voilà donc les quelques mots que mon chat avait à vous dire! Maintenant, sa vision n'est peut être pas la même que nous, mais je dois dire que je suis un peu d'accord avec vous ;) Shutttt faut pas le dire trop fort par contre, je voudrais pas qu'il sache que moi aussi je trouve qu'il louche un peu ;P hihihi

Par contre, je dois tout de même prendre un peu sa défense et dire que pour un siamois, il ne louche pas beaucoup comparé à plusieurs autre que j'ai vue :) Regardez bien :

Il le nie encore aujourd'hui!

Malgré qu'on a des preuves, mon père persiste à nier le tout en bloc.

Je vous explique. Chaque année, mes parents vont faire un petit voyage en Floride pour 3 semaines. Ils retournent toujours au même endroit et depuis le temps, ils se sont fait quelques amis à l'endroit où ils restent. Cet année, un de leurs amis là bas avait sa caméra numérique et ils ont mis une copie des photos sur un CD et les ont donné à mes parents avant qu'ils reviennent ici. Les gens qu'ils ont rencontrés là, eux sont la pour quelques mois pendant l'hiver.

Donc, entre amis, souvent, ils se font des petits souper et prennent un verre ou deux... ou trois ... ;) hehehe Un soir où ils avaient justement pris quelques verres, les propriétaires qui sont aussi Québécois avaient décidé de sortir leur système Karaoké.

Je vous laisse deviner que ma mère c'est fait un plaisir à nous raconter comment ils ont eu du fun ce soir là et surtout qu'elle a bien rit en voyant mon père chanter à pleine tête avec ceux qui chantait. Bon, ok, pas directement au micro, mais derrière eux:





Malgré cette photo qui nous le démontre bien, il persiste encore aujourd'hui à nous dire qu'il ne chantait pas! LOL

Est-ce que vous le croyez?

Souvenir d'universitaire

Wow! Ça faisait longtemps que je n'avais pas fait ça. En fait, je n'avais pas fait ça depuis ma première année à l'université! Que de souvenirs. Déjà 8 ans de passé depuis. À l'époque, le jeu d'ordinateur Diablo était déjà sur le marché depuis quelques années, mais était encore très populaire. C'est en fait un de seul jeu d'ordinateur que j'ai réellement aimé. En fait, je ne me souviens pas d'un jeu avec lequel je peux avoir joué pendant autant d'heure.

Lors de ma première année à l'université je me suis fait plein de nouveaux amis, mais un d'entre eux aimait tout autant que moi ce jeu. Je ne peux plus conter sur les doigts de mes mains combien de fois on a pu se connecter en réseau à distance pour jouer ensemble à Diable jusqu'aux petites heures du matin!

Et bien, hier soir, pour la première fois depuis toutes ses années, je me suis connecter à distance au réseau de deux de mes amis et on a répété l'expérience, mais cette fois avec Diablo II. Ça m'a rappeler des souvenirs de jouer ainsi. C'était bien amusant!

jeudi 1 novembre 2007

Manquer le bateau

Je lisais un peu plus tôt un billet que L'Ex a mis en ligne sur son blog. Elle mentionnait qu'elle s'est procurée deux billets pour le spectacle de Louis-José Houde. La chanceuse!

Tout ceci m'a par contre fait revenir en arrière de quelques mois. Au printemps cet année, j'avais acheté des billets pour aller voir le nouveau spectacle de Louis-José Houde sur un bateau sur le Richelieu au mois d'août. J'avais tellement hâte d'aller voir son spectacle! J'avais été voir son premier avec un de mes amis et j'avais adoré.

Les mois on passé et la date du spectacle approche. Le spectacle était un lundi soir, à 20h. Le vendredi soir d'avant, je vois sur le coin d'un bureau dans la maison un billet relevé de transaction pour l'achat de billet pour le Gala Juste Pour Rire. Voyant ce petit bout de papier, je regarde mon copain et je lui dis:

- Faut pas oublier, Lundi c'est notre spectacle de Louis-José Houde!

Et bien j'aurais peut-être dû me taire ce soir là, car lundi est venue, je n’étais pas en super forme, un petit virus quelconque en plus d'avoir fait un faut mouvement et m'être coincé le nerf sciatique. J'ai de la misère à m'endurer, alors une fois de retour à la maison après la journée de travail, je m'étends sur le divan après avoir pris de quoi pour la douleur et j'attends que mon copain arrive. Je ne pense pas du tout à notre spectacle, mon copain arrive, et il n'y pense pas plus. On va faire quelques commissions, on rentre, et on va se coucher plus tard.

Le lendemain midi, j'appelle mon copain pour répondre à une question sur ce qu'on a à faire la fin de semaine qui s'en vient et c'est là que j'ai un retour de mémoire qui me dit:

- Aille on a un spectacle tel date...

Donc je dis à mon chum en regardant le calendrier:

- Hey merde! On a oublié quelque chose hier?

Il se demande de quoi je parle, ça ne lui revient pas du tout, il pense que je veux dire qu'on a oublié d'acheter quelque chose pendant nos commissions.

- Le show de Louis-José Houde!!!! C'était hier soir!!! Tabarn... !!! Grrrr!

Hey oui... on l'a oublié, complètement oublier...

Vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point j'étais en maudit après moi-même d'avoir oublier ça! J'en ai été frustrée pendant des jours juste à y repenser... LOL

Non seulement j'ai manqué un spectacle que j'avais très hâte de voir, mais en plus, on avait des billets dans la 2e rangé d'en avant!!! Un show un peu plus intime, sur un bateau croisière... Grrr...!

Tout est dans l'attitude

Ce soir, Dame Galadriel nous a permis de voir un vidéo vraiment inspirant. J'ai pris le temps de l'écouter et je crois qu'on devrait tous prendre le temps de vraiment écouter cet homme. Voici un lien pour aller voir ce dit vidéo: Une leçon de vie.

Comment se mettre un pied dans la bouche...

Il y a quelques jours, je jasais avec mon collègue. Sa femme est enceinte et elle doit accoucher d'ici quelques semaines. Je lui demandais si lui et sa femme avaient hâte, et si elle était tannée. Sa réponse m'a mené à lui demander si elle avait eu une grossesse difficile, si elle avait eu bien des nausées, ce qui n'a, semble-t-il, pas été le cas.

Cette discussion nous a mené à parler de certaine de nos connaissances qui ont eu des grossesses plus difficile, dont une connaissance qui a perdu du poids pendant sa grossesse tellement elle était malade. Elle a été hospitalisée pour la majorité de sa grossesse et gardée sous soluté pour éviter la déshydratation. Même les médicaments anti-nausées ne l’aidaient pas. Et disons le, elle n'avait pourtant pas de poids à perdre avant sa grossesse.

Bien entendu, la discussion de perte et prise de poids pendant la grossesse m'a mener à le taquiner un peu et lui demander en blague s'il avait fait une grossesse sympathique.

Je précise ici que si j'ai posé la question, ce n'était que pour taquiner, et non pas parce que j'avais l'impression que c'était le cas. C'est là que je me suis mis un pied dans la bouche... Il me répond:

- Non, en fait, j'ai perdu 15 lbs!

Et moi, comme si je ne m'étais pas déjà assez mis les pieds dans les plats, je lui dis:

- Ah oui?? Je n’avais pas remarqué, ça parait pas vraiment...

Wow! Je me suis sentie assez mal après :/ *rougit*

Ok, ce que je vais ajouter, je vous le dit, ce n'est pas pour me faire pardonner, mais la réalité à mes yeux.

Premièrement, il n'avait pas un si gros surplus de poids, et deuxièmement, comme je le côtois tous les jours, on remarque moins ce genre de chose là comme ça ce fait de façon graduel. Mais je suis certaine que si j'avais été quelques semaines sans le voir entre le temps où il a commencé à perdre du poids et aujourd'hui, je l'aurais sûrement remarqué ;) hehe

Désolé Marc, je ne voulais pas te blesser quand j'ai dit que ça ne paraissait pas. En fait, je tiens, au contraire, à te féliciter et surtout ne lâche pas les efforts !

Mais tout de même, cet après-midi, j’ai été soulagée quand une de mes collègues lui a dit à peut près la même chose que moi quand elle a entendu qu'il avait perdu du poids dans une nouvelle discussion qu'on avait cet après-midi ;) Au moins, je ne suis pas la seule à pas l'avoir remarqué ;) hehe

Tu parles d'une date!

Ça fait un peu plus de 6 ans que je travaille pour la même compagnie. Depuis mon arrivée dans cette entreprise, chaque année, la compagnie nous offrait un party de Noël assez exceptionnel. Pour les 5 premières années, le party avait lieu à la Gare Windsor à Montréal et on nous faisait toujours un spectacle quelconque avec différents artistes. L'an dernier, on a changé de place pour être au Palais des Congrès de Montréal. Le spectable à mon avis laissait à désirer comparativement aux années précédentes. C'est certain que les spectacles des années d'avant étaient très différents d'une année à l'autre et ne sont pas nécéssairement le genre de spectacle que chacun irait voir en temps normal, mais tout de même on y voyait un effort pour avoir quelque chose d'original. Une année on a eu le Boogie Wonder Band, une autre année on a eu des gens du Cirque du Soleil et Jean-François Brault et Marie-Êve Janvier de Don Juan, etc. Je dois dire que plusieurs sont resté déçu du party de l'an dernier, mais cette année promet malheureusement de remporter la palme!

Cet année, le party aura lieu au Métropolis... Mais en plus, contrairement aux années précédentes où le party avait toujours lieu un samedi soir, cette année, on nous mets ça un mardi soir!!!

Non mais?! C'est quoi l'idée?? On veut être certain d'avoir le moins de monde possible???

Franchement...

Info: Sang chaud, sans froid

Je voulais seulement prendre un petit moment pour vous dire de ne pas trop vous décourager. La suite de Sang chaud, sans froid va suivre sous peu. Je vous promets la suite d'ici samedi :)

J'espère que ce ne sera pas trop long pour vous ;)

mercredi 31 octobre 2007

Fini de jouer au yoyo!

Ça fait quelques mois que je dis aux gens qui m'entourent que je suis tannée de me faire prendre pour un yoyo. Pourquoi un yoyo? C'est bien simple. Je vous ai déjà parlé que mon employeur nous avais dit qu'on allait déménager prochainement au Centre-Ville de Montréal. Depuis le début du mois d'octobre qu'on me prenait pour un yoyo à travailler entre les futurs bureaux du Centre-Ville et nos bureaux de Ville Saint-Laurent. Non seulement on me faisait travailler dans les deux endroits, mais la plus part du temps, je savais la veille, en fin de soirée, où je devais me présenter le lendemain. De plus, quand je travaillais du Centre-Ville, on me faisait faire un horaire de travail différent de mon horaire habituel. Donc une journée j'étais au Centre-Ville, le soir on m'appelait pour me dire: "Demain, on retourne à Saint-Laurent" ou vice-versa.

Je peux vous dire que j'étais sincèrement tannée de me promener comme ça entre les deux! J'avais tellement hâte que tout se stabilise et d'arrêter d'avoir à me pauser la question d'où je serais le lendemain.

Voilà! C'est fait! On est maintenant fixé. On ne déménage plus! LOL Après 1 an à prévoir le déménagement à plusieurs niveaux, on nous dit que suite à une annonce qui nous a été fait il y a 2 semaines, ils ont décidé de nous laisser où nous sommes pour l'instant.

La seule chose qui me fascine dans tout ça, c'est que depuis près de 2 ans nous sommes au courant que le changement qui vient de nous être annoncé s'en viennait. On n'avait tout simplement pas de date officielle. Si la compagnie savait déjà que ça s'en venait, pourquoi nous avoir impliqué et inclus dans ce déménagement, comme si de rien n'était? Et maintenant, annuler le tout. Ça fait quand même 1 an que plusieurs personnes sont impliquées dans des projets pour réaliser ce déménagement, plusieurs heures de travail faites par tous ses gens afin de rendre le tout possible et finalement on laisse tomber?! Ok, pas complètement tout, car on devait être 3 départements à déménager et il n'y en aura quand même 2 qui déménageront. C'est certain que tout le travail accompli n'a pas été fait pour rien, mais plusieurs heures ont par contre été passées à tenter de régler des problèmes de télécom pour mon département particulièrement. À moins que ces problèmes n'étaient pas réellement des problèmes de télécom, mais plutôt des décisions à prendre pour savoir si oui ou non ça valait le coût de nous déménager?? On aura probablement jamais la réponse à cette question ;)

Je dois dire que je suis quand même un peu déçue de ne pas aller travailler au Centre-Ville finalement. Même si ça allait me prendre un peu plus de temps de voyagement m'y rendre, les quelques semaines passées à travailler là bas au mois d'octobre m'ont permis d'apprivoiser la place et j'aimais bien y être. Ça me permettait également de pouvoir aller luncher avec certains de mes amis sur l'heure du midi, des gens que je n'ai pas toujours la chance de voir à cause de nos horaires chargés. J'avais même planifié m'inscrire dans un gym avec une amie qui travaille dans un édifice tout près d'où j'aurais travaillée.

Ce sera pour une prochaine fois! Pour le moment on reste où on est, mais suite à l'annonce qu'on a reçu, on ne déménage pas pour minimiser le nombre de déménagement, donc un autre déménagement sera peut être à prévoir et si c'est le cas, ce sera peut-etre aussi au Centre-Ville, juste dans un édifice différent de celui où on devait aller.

Deception d'Halloween

Il y a une chose qui m'a surprise cette année. Pour une des premières fois, aujourd'hui au travail, je n'étais pas la seule de mon équipe à m'être costumée pour l'occasion. Costumé est un grand mot, mais j'avais tout de même fait mon effort. Quelque chose de simple, mais relativement original. Je me suis trouvé une paire d'ailes de papillons avec une passe avec des petites antennes. Rien d'encombrant, ni de trop extravagant non plus. Un petit quelque chose pour souligner l'occasion. Une de mes collègues, qui reviens de voyage en Irlande, c'était rapportée quelques petits trucs de là bas et s'en est servie pour se faire un costume rigolo, quant à la 3e personne en costume, c'était mon boss! Ce fût une surprise de le voir costumé. Je ne l'avais jamais vue se parer de quoi que ce soit dans les années précédentes. Faut croire que d'avoir eu un enfant cet année lui a ramener un peu d'esprit de jeunesse ;)

Par contre, c'est sans doute une des seules choses qui m'a permis de sentir l'esprit d'Halloween... Une de mes amies a une petite fille de 18 mois. Elle l'avais costumé ce matin avant d'aller la mener à la garderie. Comme elle et moi on travail au même endroit, le soir, je lui fait un lift pour la reconduire chez elle. Ce soir, j'avais conclus avec elle que j'irais chercher sa petite puce avec elle, car je voulais la voir dans son petit costume de canard! Quel tristesse quand on est arrivée chez elle et qu'on a vue qu'elle n'avait plus son costume :( La garderie lui avait enlevé en cours de journée.

Ce ne fût pas ma seule déception. En fait, j'avais par la suite prévue me rendre chez une autre de mes amies. Elle avait acheté plein de bonbons pour les donner aux jeunes du quartier. Elle et son mari sont déménagés au printemps. Comme elle était seule à la maison ce soir, elle m'avait demandé d'aller avec elle, car elle ne voulait pas être seule pour donner les bonbons. J'étais contente de m'y rendre et j'avais bien envie de profiter de l'occasion pour prendre quelques photos des petits monstres qui allaient venir nous rendre visite. Non seulement je n'avais pas ma caméra, mais si on a vu 20 jeunes, c'est beau...

*Soupir*

J'espère que j'aurai la chance d'en voir plus l'an prochain!

mardi 30 octobre 2007

Mon chat se prend pour un chien!

J’ai deux chats, un tabby gris, Ti-Poux, et un siamois croisé, Wiski. Les voici :


Ils ont chacun leur caractère et les deux me font rire. Ce qui me fait le plus rire en fait, c’est comment Wiski peut agir. On dirait qu’il se prend pour un chien! Il est presque aussi dépendant de moi qu’un chien peut l’être de son maître. Dès que je suis dans la maison, il n’est jamais bien loin de moi, quand il n’est pas collé contre moi. Il répond à son nom quand je l’appelle, et si je lui lance un jouet…


Il joue a va chercher et il me rapport le dit jouet. Je peux faire ça avec lui pendant des heures! hihihi! Et comme un chien, il lui arrive par fois de courir après sa queue.
Semblerait que ce soit un trait typique des siamois, mais j’aime tout de même penser que mon chat est un peu plus spécial que les autres ;)

Un petit essaie

J'ai envie d'essayer quelque chose. En plus de vous faire quelques billets régulièrement, j'ai envie de tenter de vous faire un "feuilleton" web, de composer une histoire qui évoluera au fil des billets que je ferai.

Je viens de finir le premier épisode, il est à la suite de ce billet.

Bonne lecture!

Sang chaud, sans froid

La nuit vient de tomber sur Montréal, la lune dans un ciel d’automne sans nuage fait ressortir d’autan plus le froid qui s’abat sur la ville. La majorité des gens se pressent vers un métro ou dans les restos afin de prendre une bouchée avant de rentrer dans le doux confort de leur domicile.

D’un pas discret, mais rapide, une jeune femme marche sur le trottoir de la rue Saint-Paul en direction du Métro Champs de Mars. Elle vient de sortir d’un petit restaurant faisant face au Marché Bonsecours à la suite d’une soirée entre amies pour souligner le mariage prochaine d’une copine.

Sur le chemin qui la mène au métro, adossé contre un mur de pierres longeant une petite ruelle, un homme, assied sur un vieux sac à dos en guise de siège, la regarde passer, sans broncher. Bien que le regard de celui-ci fût des plus discrets, c’est comme s’il venait de transpercer l’âme de cette jeune femme et qu’elle l’aurait ressenti. Une drôle d’impression c’était emparée de Gabryelle pendant un instant, ce qui lui fit tourner son regard vers cet itinérant. Il ne semblait avoir rien de plus ou de moins que tout autre itinérants du quartier, son regard lui paraissait seulement être celui d’un mendiant qui cherche quelques sous. Elle lui fit un léger sourire, mal à l’aise, en faisant un signe discret comme quoi elle n’avait pas de monnaie.

La jeune femme continua sa route vers la station de métro, sans trop se préoccuper de ce qui venait de se passer. Certes, elle avait eu un drôle d’impression, mais elle tentait d’en faire abstraction, se disant que c’était simplement un regard intensément posé sans rien de plus. Elle tentait tant bien que mal de se convaincre qu’il n’était pas possible de sonder les pensées d’autrui.

Toujours contre le mur de pierre, l’homme adossé regardait dans la nuit, s’emplissant les poumons de l’air frais de la ville, non pas pour ses besoins en oxygène, mais plutôt pour retrouver les odeurs qui le mèneraient à son prochain repas…

À suivre!

lundi 29 octobre 2007

Non, mais... faut le faire!!

On est assez chanceux au bureau, mon département, on est situé sur le bord d'une fenêtre qui nous permets de voir l'aéroport, mais aussi l'intersection de la 13 et de la 40. Cet après-midi, on a eu droit au spectacle d'un imbécile en mobylette!


Voici tout d'abord la vue qu'on a d'ici:





Mon collègue se retourne à un moment donné pour regarder dehors et il s'exclame:

- Mais il est fou!!!

On se retourne donc tous vers la fenêtre pour voir cet imbécile qui roule à sens inverse sur la bretelle d'accès à la 13 et puis par la suite coupe complètement sur le gazon pour retourner vers la 40! Voilà son trajet:





Non, mais! Franchement! Faut vraiment pas penser deux secondes pour faire ça!! Surtout avec le trafic à cet endroit!

dimanche 28 octobre 2007

I belive in miracle

Enjoy!

Quelques photos

Comme je vous avais fait part dans un billet précédent, j'aime bien faire de la photo. Malgré que je sois loin d'être professionnelle, j'aime bien m'amuser à prendre quelques clichés. C'est avec la pratique qu'on s'améliore.


Voici donc quelques photos que j'ai prises aujourd'hui:


Si vous avez envie de faire des commentaires sur les photos, ou des conseils sur ce qui pourrait être amélioré, ne vous gênez pas :)

Pour les esprits tordus

Voici un petit vidéo qui m'a été envoyé il y a quelques semaines. Je dois dire que la personne qui a fait les dessins m'a impressionnée!

Bon visionnement!

Mon pays c'est l'hiver

Cet après-midi, je suis partie avec mon copain vers les Iles de Berthier. Je n'avais jamais été dans ce coin là au par avant. Bien entendu, je suis souvent passé dans le coin de Berthierville et j'y suis même arrêtée quelques fois pour mettre de l'essence, mais sans plus.

L'idée était donc d'aller se promener dans les sentiers de marches de la place et prendre quelques photos. Les îles de Berthier font parties de l’archipel du Lac Saint-Pierre qui, depuis 2000, est membre en règle de l’UNESCO. Il y a plusieurs espèces d'oiseaux qui s'y réfugient à longueur d'année. On a eu la chance de voir un grand héron, il était magnifique, mais malheureusement, je n'ai pas été assez rapide pour le prendre en photo.

Nous avons marché dans les sentiers de la place pendant quelques heures. Par contre, je peux vous dire que j'étais bien heureuse d'avoir apporté mon manteau d'hiver! Il faisait "frette"!!! Mon copain, lui, ne pensait pas en avoir besoin, alors il n'avait qu'un petit coupe vent. Il m'enviait avec mon manteau chaud. Surtout quand ceci est
arrivé:

Oui oui, les petites traces obliques dans la photo, c'est bien de la neige!



Alors voilà, la première neige est tombée! Ok, elle ne restait pas plus de quelques secondes au sol, mais tout de même, il a neigé.

samedi 27 octobre 2007

Problème d'orthographe? Qu'à cela ne tienne!

Ceci circule depuis un petit moment sur le web, mais je le trouve tout de même fascinant, alors je vous la remets ici en français et en anglais, comme je l'avais originalement vu.

Sleon une édtue de l'Uvinertisé de Cmabrigde, l'odrre des ltteers dnas un mot n'a pas d'ipmrotncae, la suele coshe ipmrotnate est que la pmeirère et la drenière ltteers soenit à la bnnoe pclae. Le rsete puet êrte dnas un dsérorde ttoal et vuos puovez tujoruos lrie snas porlbème. C'est prace que le creveu hmauin ne lit pas chuaque ltetre elle mmêe, mias le mot cmome un tuot.

Alors si vous êtes mauvais en orthographe dites vous que l'on peut toujours lire un mot tant que la 1er et la dernière lettre sont à la bonne place.

Pour ceux qui préfère en anglais, voici:

fi yuo cna raed tihs, yuo hvae a sgtrane mnid too. Cna yuo raed tihs? Olny 55 plepoe out of 100 can. I cdnuolt blveiee taht I cluod aulaclty uesdnatnrd waht I was rdanieg. The phaonmneal pweor of the hmuan mnid, aoccdrnig to a rscheearch at Cmabrigde Uinervtisy, it dseno't mtaetr in waht oerdr the ltteres in a wrod are, the olny iproamtnt tihng is taht the frsit and lsat ltteer be in the rghit pclae. The rset can be a taotl mses and you can sitll raed it whotuit a pboerlm. Tihs is bcuseae the huamn mnid deos not raed ervey lteter by istlef, but the wrod as a wlohe. Azanmig huh? Yaeh, and I awlyas tghuhot slpeling was ipmorantt!

Télécom pas de téléphone!

Comme certain le savent déjà, je travaille dans le domaine des télécommunications. Il y a un an, on nous a avisés que les bureaux de mon département et ceux de deux autres départements allaient être relocalisés au Centre-Ville de Montréal.

À l’origine, on devait déménager à la mi-août 2007. Devinez quoi? Non, nous ne sommes toujours pas déménagés. L’équipe d’IT et de Télécom sont au courant depuis environ 1 an et demi de notre déménagement et de ce que nous avons besoin dans nos nouveaux bureaux. Mais ce n’est toujours pas réglé. Un seul département sur les 3 qui devaient déménager a pu déménager et ça 2 mois plus tard que prévu. Ce qui empêche mon département et l’autre qui n’est toujours pas déménagé de déménager, c’est qu’on n’a toujours pas accès à nos systèmes téléphonique.

Le seul département qui est déménagé utilise un système de téléphonie standard de centre d’appel, donc un serveur qui gère les appels entrants et les personnes disponibles à prendre l’appel. Par contre, mon département, on a des lignes en soit directes. J’ai mon numéro à moi et les gens qui doivent me contacter me rejoignent directement par là, sans passer par un système téléphonique. Le seul hic, c’est que ce n’est pas le genre de ligne où tu passes un fil et voilà ta ligne. Je dois pouvoir accéder à ma ligne directe sur n’importe quelle station de travail dans l’édifice. Donc, je dois entrer mon extension dans le système de téléphonie et voilà, mes appels sont dirigé vers cette ligne et si jamais je ne suis pas disponible, la personne qui m’appel se retrouve dans ma boîte vocale, mais si elle a vraiment besoin de parler à quelqu’un, elle peut faire le 0 et pouvoir parler à un de mes collègues. Ça, le département de télécom ne l’avait pas compris avant il y a 2-3 semaines quand moi et une de mes collègues nous sommes rendu dans nos futurs bureaux afin de tester les systèmes. L’équipe de télécom nous avait prévu des lignes standards à activer seulement une fois qu’on serait officiellement déménagés. C’est quand ils nous ont dit ça qu’on leur a dit que ce n’est pas le genre de lignes qu’on a besoin et de leur expliquer ce qu’on a réellement besoin, donc on ne peut pas déménager encore, car notre télécom marche pas!

Un jour, ça viendra!

Je me souviens au début du mois de septembre, j’avais une collègue qui partait en voyage pour 3 semaines. Comme on nous avait dit à ce moment là qu’on déménagerait à la fin septembre, elle était entrain de mettre ses effets personnels dans une boîte, car elle ne revenait qu’au début octobre. Je la regarde à ce moment là et lui dit en riant :

- Tu sais bien que tu n’as pas besoin de tout ramasser tout de suite, on sera encore ici quand tu vas revenir de voyage. Et si ça se trouve, on déménagera pendant que moi je serai en vacances à la mi-novembre!

Laissez-moi vous dire que je ne pensais pas dire aussi vrai que ça à ce moment là, mais plus les choses avances, et plus ça s’enligne pour être la réalité!

vendredi 26 octobre 2007

Pourquoi fait-on des rêves si bizarres?

Pas trop de trafic ce matin. Hourra! Je suis d’avance au bureau. Je me dis que je vais prendre ces 30 minutes pour diminuer la pile de demandes qui s’accumulent à un rythme fou depuis les derniers jours. Tout ça, parce que je reçois beaucoup plus de demandes en ce moment que je devrais normalement en recevoir. À ce moment là, j’étais loin de me douter que je prendrais finalement ces 30 minutes là pour jaser de drôles de rêves avec un collègue.

En soit, je suis bien contente de l’avoir fait, car, même si j’avais travaillé sur mes demandes pendant ce temps là, je n’aurais pas pu le charger comme temps supplémentaire, ni n’aurais pu finir 30 minutes plus tôt pour compenser. Alors, en bout de ligne, ces 30 minutes là m’appartenaient et je les ai gardées pour moi plutôt que de les donner gratuitement à mon employeur.

Donc voilà, je viens d’arriver à mon bureau, je prends la tasse de ma petite cafetière et je me dirige vers la cuisinette pour aller chercher l’eau pour préparer mon café matinal et également nettoyer ma tasse que j’avais oublié de nettoyer la veille. Comme je suis entrain de préparer mes choses, un de mes collègues arrive et me dit qu’il a fait un drôle de rêve cette nuit.

Je le regarde et lui demande à quoi il a bien pu rêver. Il me répond vaguement en me disant qu’il a rêvé que McDo avait revu sa stratégie et avait aménagé ses restos pour accueillir les grandes vedettes rock et autre et qu’il s’y était retrouver dans un chaos total avec la multitude de jeunes survoltés qui s’étaient retrouver à l’endroit en question pour voir ces grandes vedettes. Je le regarde et dit :

Moi : - Effectivement, c’est bizarre comme rêve.

Ludo : - D’autant plus, je ne sais pas pourquoi j’ai pu rêver à ça, ça fait des siècles que je ne suis pas allé dans un McDo, je ne suis pas fan de ce genre de resto.

Moi : - Ouais. Je me demande bien ce qui fait qu’on puisse faire des rêves bizarre comme ça. Moi, j’ai déjà fait un rêve assez bizarre aussi il y a plusieurs années et je m’en souviens encore comme si je venais juste de me réveiller le matin même où j’ai fait ce rêve. Dans mon rêve, tout ce qui s’y trouvait était des choses où des personnes qui me sont connus, mais tout mélanger. Vraiment bizarre.

Je lui explique alors que j’avais une amie qui demeurait à Gatineau, et pendant que j’étai au secondaire, j’allais souvent la voir là-bas. Moi j’habitais à Sherbrooke. On allait à la même école secondaire elle et moi, jusqu’à ce qu’elle déménage à Gatineau. Un été, j’allais la voir, et j’étais monté jusqu’à Aylmer avec des gens que je connaissais et elle et ses frères venait me chercher à cet endroit là. La maison où j’arrivais était dans une rue en fer à cheval et il y avait une maison avec un très grand terrain de billet dans un des angles du fer à cheval du côté extérieur à l’opposé de la maison où j’étais. J’ai aussi une autre de mes amies qui reste dans le coin de Sherbrooke qui a un lac artificiel en arrière de sa maison. Un autre point, quand j’étais en secondaire 5, j’avais une professeure de physique qui portait toujours un sarreau, comme un chemisier. Elle semblait le porter comme vêtement, pas comme un comme un sarreau. Elle le portait simplement comme ça avec un pantalon ou une jupe, mais semblait rien porter sous le sarreau autrement que ses sous-vêtements. Elle avait également beaucoup de cheveux, et les cheveux longs. Je lui décris également la maison de mes parents. Quand on entre dans la maison par la porte avant, à notre gauche se trouve un grand salon, droit devant, on voit la cuisine plus loin, toujours face à nous, mais un peu à droite de la porte se trouve l’escalier qui monte au 2e étage et complètement à droite, une porte nous mène au vivoir ou ma mère a l’habitude de s’y étendre et s’y endormir le soir en écoutant la télévision. De plus, le sous-sol n’est pas fini chez mes parents. Mon père avait fait un établie et pendant un certain temps, il y avait plein de choses pêle-mêle sur le dessus, donc des tapis de voiture, les petits crampons du dessous faisant face au plafond.

Donc, je lui explique mon rêve :

Moi : - Voilà, dans mon rêve, je m’en vais chez mon amie à Gatineau, mais là, dans mon rêve, sa maison est en fait la maison de mes parents et se retrouve sur le terrain à Aylmer qui était de billet avec où j’étais arrivée et derrière sa maison se trouve le lac artificiel de mon autre amie. On est donc là et elle me raconte que depuis un certain temps, le soir, un drôle de bruit semble venir du lac artificiel. On est toutes deux curieuses de savoir ce qui peut bien faire se bruit qui fait penser à une complainte quelconque, le soir venu, je décide donc de plonger dans le lac, car le bruit semble venir de sous l’eau. Au milieu du lac se trouve une grosse roche. Je me mets donc à nager te mon amie, prise de peur retourne dans la maison. Je nage donc sous l’eau et en prenant de la profondeur et de la distance par rapport à la rive, je me retourne donc pour faire face à la surface de l’eau. C’est donc à ce moment que j’aperçois d’où vient le son en question. En fait, ça vient de sous cette roche au milieu de l’eau. La roche flottait, supporté par le squelette de ma professeure de physique, qui avait toujours tous ses cheveux et son sarreau. Malgré que ce soit un squelette dans mon rêve, elle semble être toujours vivante. Prise de peur par cette vision, je me dirige donc vers la maison, avec en tête de me rendre dans le vivoir pour aller chercher le réconfort de ma mère oubliant que je ne suis pas chez mes parents, mais bien chez mon amie. En arrivant face à la porte du vivoir, je l’ouvre et je retrouve coucher sur le divan, comme l’aurait fait ma mère, le frère de mon amie. Il est étendu là, à moitié endormis et il porte des lunettes. Dans la réalité il n’en porte pas, et celles qu’il a dans mon rêve sont celle d’une personne que je connais. Je lui explique donc ma frousse et il me sert alors dans ses bras et me fait signe de le suivre vers sa chambre qui se trouve au sous-sol, comme dans la réalité. Je le suis donc pour réaliser à ce moment là que son lit est en fait l’établie et il dort sur les tapis de voiture, sur les petits crampons.

Ludo : - En effet, c’est assez bizarre comme rêve, et je tu t’en souviens effectivement très clairement.

C’est donc suite à ceci qu’on c’est mis à ce poser la question de ce qui faisait qu’on pouvait faire des rêves de ce genre.

Est-ce que vous le savez vous ce qui fait qu’on fait ce genre de rêves?

Je sais que notre subconscient y est pour beaucoup. Mais qu’est-ce qui fait qu’il nous lance toutes ses informations, « out of no where ». Il nous relance plein d’informations qu’on n’a pas eu affaire à depuis belle lurette. Mais pour quelle raison, maintenant, et pourquoi cette information-ci et non pas autre chose?

Ça me fascine les rêves, qu’est-ce qui fait qu’on va rêver à une chose plus qu’une autre à ce moment-là.

Est-ce que vous avez des réponses pour moi? Peut-être que oui, peut-être que non, mais peut importe, je ne vous en voudrai pas si vous n’avez pas de réponse à mes questionnements ;)

Faites de beaux rêves!

Tout est relatif

Régulièrement, je prends un moment pour appeler mes parents afin de prendre de leur nouvelles et en même temps leur donner des miennes. Donc, en début de semaine, je prends un moment pour appeler mes parents et jaser un peu. Au moment où j'appelle, mon père n'est toujours pas revenu de travailler. Je placote donc un peu avec ma mère et lui raconte ce qui se passe de mon côté depuis la dernière fois que je lui ai parlée.

On jase un peu de tout et de rien et mon père finie par arriver à la maison. Tout ce que j'entends à ce moment là, ce qui est entre autre la raison pour laquelle je sais que mon père vient de rentrer dans la maison, c'est ma mère qui s'exclame:

- Mais ma foi, qu'est-ce qui t'arrive? Tu sembles avoir de la difficulté à marcher!

J'entends un peu par derrière la voix de mon père qui semble dire qu'il a mal et qu'il ne feel pas tellement bien.

Ma mère revient alors à notre discussion et je lui demande donc ce qu'il a. Elle me dit simplement qu'il a mal au ventre au point qu'il a de la misère à ce tenir debout. Comme elle et moi avions pas mal fait le tour des choses qu'on avait à ce dire avant que mon père arrive, je lui dis donc au revoir avant qu'elle ne tende le téléphone à mon père. On jase un peu et je lui demande ce qu'il a qui ne va pas, et il m'explique un peu plus en détail son mal. Ma réaction est alors de lui dire:

- Fait attention, ce que tu me racontes là me fait drôlement penser aux symptômes d'une appendicite.

Il me rassure et me dit que ce n'est pas ça, qu'il doit simplement avoir de la difficulté à digérer quelque chose. Difficile pour moi de lui tordre un bras à distance et d'autant plus, je me dis que c'est lui qui est le mieux placé pour savoir comment il se sent. Donc on continue à placoter et je lui raconte un peu ce qui se passe de mon côté et quelques minutes plus tard, je raccroche la ligne.

La soirée passe et j'ai un feeling weird, je me dis donc que je vais rappeler ma mère le lendemain matin pour prendre des nouvelles de mon père. J'ai des doutes que son problème soit seulement de la difficulté à digérer quelque chose.

Une fois la nuit passée, je me réveille et je suis un peu en retard sur mon horaire, alors comme je suis un peu à la course, je ne pense pas à rappeler à la maison pour avoir des nouvelles et je me dis que s'il y avait eu quelque chose, ma mère m'aurait certainement rappelée pour me le dire. Je fini donc ma journée de travaille et puis en rentrant à la maison, j'en profite pour appeler de nouveau, question d'en avoir le cœur net. Ma mère me répond. On placote un peu, et il est rendu environ 6h15, je demande à ma mère comment mon père va, elle me dit qu'il va bien, mais qu'il n'est pas encore revenu du travail, qu'il avait été retenue car des ingénieurs avaient à le rencontrer pour des rénovations sur la bâtisse où il travail, qu'il devrait rentrer vers 7h-7h30, mais de ne pas le rappeler à ce moment là, car il serait certainement trop fatigué de sa journée. Je lui dis de ne pas s'en faire, je sais comment il est effectivement épuisé quand il revient de travailler après ce genre de journée. Donc on placote un peu encore elle et moi et puis finalement, on raccroche.

Le lendemain midi, jeudi midi plus précisément, ma mère m'appelle sur mon cellulaire, juste comme mon heure de dîner commence. Je réponds donc. Elle semble de bonne humeur, mais tout de même, je me demande ce que me vaut l'honneur de son appel à ce moment-ci de la journée, car ce n'est réellement pas son habitude. Ça ne prend pas beaucoup de temps avant qu'elle m'avoue la raison de son appel:

Ma mère: - Je voulais te dire que papa est à l'hôpital.

Moi: - Ben voyons?

Ma mère: - Tu avais raison l'autre soir, c'était bien une appendicite. Il s'est fait opéré hier soir, vers 9h. Il est rentré à l'urgence hier matin. Je n’ai pas osé te le dire quand tu as appelé hier, je voulais attendre que l'opération soit faite avant de te le dire, des fois que ce n'était pas ce que les médecins pensaient. On ne voulait pas que tu t'inquiètes.

Je dois vous dire que j'étais tout de même soulagée de savoir que mon père était allé à l'hôpital. Je savais qu'il était maintenant entre bonnes mains, et que tout ira pour le mieux bien vite. Ils ont tout de même dû le garder à l'hôpital pour quelques jours. En fait, il aura été là pour 5 jours au total, s'il sort bien demain comme prévu. Ils le gardent un peu plus longtemps, car comme il a attendu avant d'aller à l'hôpital, il y avait de l'infection qui avait commencé à se faire, donc il est présentement sous antibiotique puissants par intraveineuse. Ils veulent s'assurer que l'infection est complètement partie avant de le laisser partir et je dois dire que ça me rassure. Donc, si tout va bien, il devrait sortir demain matin.

Voilà donc ce qui c'est passé pour moi dans les derniers jours. Vous devez tout de même vous demander pourquoi le titre: "Tout est relatif". En fait, c'est ce que mon père a vécu dans les derniers jours. Bougonneux de devoir être à l'hôpital et malade, il n'était définitivement pas heureux de son sort. Mais quand il a fait la connaissance des autres personnes qui se trouvaient dans sa chambre, c'est là qu'il s'est trouvé fort chanceux d'être dans sa propre situation. Un des hommes qui était dans la même chambre que lui avait été opéré quelques semaines plus tôt pour se faire enlever un bout d'intestin à cause d'un cancer qui commençait à être assez répandu (poumons, œsophage, intestin, et ganglions). Tout semblait bien aller pour lui par contre, sa femme venait le chercher hier à l'hôpital, il était bon pour rentrer à la maison.

De son côté, mon père ce doutait que quelque chose n'allait pas. En quelques heures, il a vue la scène changer drastiquement. L'homme en question est passé d'un teint normal à très jaune en quelques heures seulement. Changement de plans. Il ne peut plus retourner chez lui. Il a un empoisonnement de sang et une de ses plaies c'est ouverte et il perd beaucoup trop de sang et de liquides. Les médecins et infirmières sont incapables de lui donner de transfusions...

La pauvre femme de cet homme qui devait être toute heureuse de pouvoir venir chercher son mari et retourner à la maison a eu une toute autre nouvelle à la place...

- Désolée ma chère dame, mais votre mari ne peut pas retourner à la maison, il est transféré aux soins intensifs... et il n'en ressortira fort probablement pas...

C'est là que mon père s'est dit qu'il était finalement bien chanceux d'être là, seulement pour quelques jours, dû à une appendicite. Lui qui était entré là en ne voyant que le pire pour lui, il s'est vite rendu compte, que sa situation était plutôt à enviée face à celle de certaines autres personnes.

Sur ce, malgré que je ne connaisse pas du tout cet homme, ni cette pauvre dame, mes pensées sont avec elle et sa famille dans ce moment difficile.

mercredi 24 octobre 2007

Une chance qu'ils sont là!

Je regarde autour de moi depuis un moment et je dois dire que je suis bien chanceuse. Nombreux sont ceux autour de moi qui ne sont pas heureux au travail. Certain parce qu'ils n'aiment tout simplement pas ce qu'ils font, d'autre parce que l'ambiance au bureau est pourrit. Dans de tels circonstances, on finit par ne plus vouloir entrer travailler le matin.

Je dois avouer que de mon côté, malgré qu'on est très occupé, que tout ne roule pas toujours aussi rond qu'on le voudrait, il n'y a pas une journée où je ne rie pas pendant que je suis au travail. J'ai la chance d'avoir des collègues avec qui je m'entends bien et surtout, on a toute une esprit d'équipe.

On pense à chacun et on s'arrange pour alléger la journée de nos collègues au mieux de nos capacités, que ce soit en aidant à compléter une partie du travail d'un autre quand on a un moment libre ou bien en ayant une petite attention particulière sans trop de raison.

Je prends par exemple hier matin. Je suis arrivée au bureau avec un gâteau aux bananes pour le partager avec mes collègues, et je n'étais pas la seule à avoir eu cette idée. Une de mes collègues avait elle aussi décidé de nous apporter une petite gâterie, un gâteau aux épices. Régulièrement, quelqu'un arrive avec un petit quelque chose comme ça pour toute l'équipe.

Bon, c'est certain on n'est pas une très grosse équipe, sinon ce serait plus complexe. On est 10, donc ça ce fait bien.

Autrement, je prends souvent mon dîner avec Julie, une de mes collègues avec qui je m'entends très bien. Et de temps en temps, on se partage une petite bouffe. Une prépare un petit repas pour les deux et l'autre apporte un accompagnement ou vice-versa. Ça rends les lunchs plus agréables. Et on s'amuse à tester de nouvelles recettes.

Ok, vous allez me dire que la bouffe ce n'est pas tout et vous avez bien raison. Je dois dire que notre équipe, on a tout un sens de l'humour, c'est une des raisons pourquoi on est rarement sans rire au moins une fois dans la journée. On se taquine mutuellement et on se raconte plein d'histoire. Jusqu'à un point où on est reconnu pour être un groupe assez spéciale pour ça. Et plusieurs aime bien venir faire un petit tour dans notre coin pour l'ambiance qui s'y trouve.

Je me compte donc très chanceuse d'avoir une équipe de travaille comme ça, malgré qu'on fini tous par avoir un moment difficile, ça aide énormément à passer à travers ces petits moments moins agréables dans nos vies.


Merci chers collègues et amis! Vous êtes un sourire dans ma journée!

Halloween Spirit

Il y a quelques jours, j'ai décidée d'aller me promener un peu dans le Vieux Montréal en soirée. Pour le plaisir et en même temps en profiter pour pratiquer un passe-temps que j'aime bien, la photographie. Je suis loin d'être professionnelle dans le domaine, je suis encore au niveau amateur, mais je m'amuse et j'expérimente.

Je me rends donc avec mon copain dans le vieux afin de prendre quelques photos de soir. Armée de ma caméra et de mon trépied, je me promène et regarder les différents bâtiments qui nous entourent et je prends quelques clichés. Je m'ajuste avec ce que je peux voir sur mon écran de visionnement et je joue avec les temps d'exposition et les grandeurs d'ouvertures sur ma caméra. Je réussi à prendre quelques photos qui me plaisent bien. En voici donc quelques unes:

Je trouvais les éclairages sur l'Hôtel de Ville intéressantes, et je dois dire que j'aime bien le résultat de celle-ci.

On continue donc notre petit marche, et on se retrouve entre l'hôtel de Ville et le Palais de Justice. Avant d'entrer entre les deux bâtiments, voici une petite vue du Centre-Ville, de nuit:

Une fois cette photo prise, on tourne le coin. Pour ceux qui connaissent l'endroit, c'est là qu'on retrouve la fontaine que voici:

Ce n'est pas évident de prendre une fontaine de soir, un temps d'exposition assez long pour bien voir, mais pas trop, pour ne pas juste avoir un flou à la place de l'eau... Je pense que j'ai quand même réussi quelque chose de pas trop mal ici.

Le temps passe, il est rendu près de 11h le soir.

On s'aventure dans les petites rues de la place et je vois un bâtiment, qui avec son éclairage, donne vraiment une impression de l'époque médiéval, si ce n'était que des panneaux de signalisation routière et les lumières électriques. Je m'installe donc et le prends la photo:

Quelle ne fût pas ma surprise quand j'ai regardé la photo sur mon ordinateur à la maison. Si vous regardez bien dans le coin en bas à gauche de la photo, on voit comme une espèce d'ombrage sur le trottoir. On croirait vraiment que ce sont des esprits qui sont apparut sur la photo. J'aime particulièrement cette photo pour ce point. L'époque que cette photo nous rappel, joint avec cette petite particularité, lui donne son charme selon moi.

Bien entendu, ce ne sont pas de vrais esprits. Simplement des gens qui marchaient et qui sont entrés dans le cardage de ma photo pendant que la photo se prenait. Comme l'exposition est longue, on ne voit que leur mouvement, ce qui donne cette effet "d'esprit".

Voilà donc un petit moment que j'avais envie de partager. Pas trop déçus j'espère... ;)

mardi 23 octobre 2007

Les pieds dans les plats vous dites?

Comme je l'ai mentionné dans mon message précédent, la première histoire que je mets ici est en lien avec un billet que Yan (Cyberyan) avait mis sur son propre blog un peu plus tôt ce soir. Pour vous mettre un peu dans le contexte, il contait une situation où il aurait préféré disparaître. Voulant faire sourire une amie en jouant la carte du gars frustré, il s'est royalement mis un pied dans la bouche. Si vous voulez l'histoire exacte, je vous suggère d'aller le lire directement sur son blog, si ce n'est pas déjà fait. En lisant cette petite anecdote de sa part, ça m'a rappelé une fois où j'aurais aussi préféré retourner en arrière pour défaire ce que je venais de faire. Voici donc cette petite anecdote de ma vie.

Il y a de ça déjà maintenant 6 ans, je commençais à travailler pour la compagnie pour laquelle je travaille encore aujourd'hui, mais dans un tout autre département. À l'époque, je commençais dans le domaine de la vente, dans un petit Kiosque à vendre des cellulaires. Comme plusieurs le savent déjà, on doit suivre un script de vente qui nous est imposé par l'entreprise, et ça fonctionne comme ça dans pas mal tous les domaines de vente au détail. Dans le nouveau modèle qu'on vient de nous implanter, il y a différentes étapes à suivre et une d'elle est de faire une commentaire "x" non relié à la vente, mais en lien avec notre client à ce dit client. Vous savez, du genre:

- Vous avez un beau manteau, où l'avez vous pris?

ou encore

- Ouais, on est vraiment chanceux depuis les derniers jours, on a vraiment une belle température dehors. Est-ce que vous en avez profité un peu?

Le genre de commentaire qu'on a tellement pas l'air convaincu et vraiment loin d'être naturel. Le client est pas stupide, il le voit bien que tu t'en fou réellement, peu importe ce qu'il te répondra.

Donc, je ne suis vraiment pas fervente de cette nouvelle approche qu'on veut nous demander, mais j'ai pas le choix, si je me fait évaluer par un acheteur mystère et que je ne l'ai pas fait, je vais me faire taper sur les doigts pour pas avoir fait mon travail comme il faut, pas grave si j'ai quand même fait ma vente en bout de ligne, j'ai pas mon 100% dans mon évaluation... En tout cas, j'ai pas besoin de vous en dire plus pour que vous sachiez comment je me sentais face à ceci.

Me voilà donc, dans le petit kiosque avec mes collègues à jaser quand un client approche pour regarder les différents téléphones. Je m'approche donc de lui et le salue. Jusque là, pas de problème, tout se passe bien. Je continue donc à discuter avec lui, pose des questions afin de pouvoir identifier clairement ses besoins, tant pour l'appareil qui lui conviendra le mieux, que pour déterminer le forfait qui sera à sa mesure. Tout se passe très bien.

Sur le comptoir du kiosque, sous la vitre, il y a les listes de nos forfaits et entre moi et ces listes, il y a les petits supports avec les différents téléphones. Donc en discutant avec lui, chacun notre tour, on pointe différentes informations sur les listes et on "joue" avec les différents modèles de téléphones, ce qui me donne l'occasion de remarquer que ce jeune homme devant moi a une bague à un de ses doigts. Lequel, je ne me souviens plus maintenant, mais, tout ce que je remarque, c'est en fait que le modèle me plaît bien. Je le trouve sincèrement belle. Pour une fois, que je trouve quelque chose à dire qui n'est pas en lien avec la vente et qui est sincère. Je me lance

- Hey, je viens de remarquer votre bague. Elle est vraiment belle. J'aime le style...

Je n'ai même pas le temps de finir ma phrase qu'il change complètement d'air. Il passe d'un jeune homme relativement joyeux à un silence de tombe et devient presque translucide tellement il devient blême. Avant même que je puisse redire quoi que ce soit, il avait quitter le kiosque, sans même dire un mot. Il avait pris la direction d'un bans à quelques mètres de là.

Je me sens vraiment mal, je regarde discrètement en sa direction pour le voir se frotter les tempes et les yeux. Il semble pleurer. Rien pour me faire sentir mieux. Je me retourne donc vers mes collègues, et je leur dit:

- Je déteste vraiment cette nouvelle approche, quand tu as pas l'air complètement twit tellement que tu n'es pas sincère, voilà ce qui arrive, tu fais fuir les clients...

Je suis vraiment décourager. Je ne sais pas trop ce que j'ai pu dire pour qu'il réagis, je ne comprends vraiment pas comment un commentaire pour dire que j'aime sa bague puisse avoir fait tant de dommage... Environ 5 à 10 minutes plus tard, le client revient et s'approche de moi et s'excuse de sa réaction, et m'explique qu'il n'a pu retenir sa réaction, car le tout est encore trop récent. Il m'explique alors que la raison de sa réaction est simplement le fait que cette bague appartient à sa meilleure amie... Malheureusement, celle-ci n'est plus de ce monde. Quelques semaines plus tôt, les autorités l'avait retrouvé morte en Colombie-Britanique.

Vous pouvez comprendre maintenant comment je pouvais me sentir... Un commentaire qui nous parait parfois si banal peut toucher quelqu'un beaucoup plus que ce qu'on peut imaginer.